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Angoisse de la séparation: la crise des 18-24 mois

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Mon bébé bien être

Un nouveau cap dans le développement de l’enfant

Après avoir franchi la première année de vie, beaucoup de parents pensent que les nuits agitées et les difficultés de sommeil appartiennent au passé. Pourtant, entre 18 et 24 mois, une nouvelle étape, souvent inattendue, vient bouleverser ce fragile équilibre : la crise de l’angoisse de la séparation. Cette péhttps://monbebebienetre.com/wp-content/uploads/2024/06/woman-traveling-in-france-2023-11-27-05-16-47-utc_Easy-Resize.com_.jpgde, parfois appelée « régression du sommeil », est une phase normale et transitoire du développement psychologique de l’enfant. Elle s’accompagne d’un éveil accru à son identité, à son environnement et à la notion d’indépendance.

Pourquoi cette crise survient-elle à 18-24 mois ?

À cet âge, l’enfant affirme sa volonté et découvre qu’il est une personne à part entière, distincte de ses parents. Cette prise de conscience s’accompagne d’une peur de la séparation, d’autant plus forte que l’enfant développe une cuhttps://monbebebienetre.com/wp-content/uploads/2024/06/woman-traveling-in-france-2023-11-27-05-16-47-utc_Easy-Resize.com_.jpgsité croissante pour le monde qui l’entoure, tout en ayant besoin de la sécurité affective de ses figures d’attachement. C’est aussi une péhttps://monbebebienetre.com/wp-content/uploads/2024/06/woman-traveling-in-france-2023-11-27-05-16-47-utc_Easy-Resize.com_.jpgde où l’enfant progresse sur le plan du langage, de la motricité et de la socialisation, ce qui peut générer de l’excitation mais aussi de l’insécurité.

Comment se manifeste l’angoisse de la séparation à cet âge ?

Chaque enfant réagit différemment, en fonction de son tempérament et de son histoire. Voici les signes les plus fréquemment observés :

  • Attachement renforcé : L’enfant s’accroche à ses parents, refuse de les quitter ou les suit partout.
  • Pleurs et agitation : Les séparations, même brèves, déclenchent des pleurs, des cris ou des protestations.
  • Refus de séparation : L’enfant peut s’opposer à aller à la crèche, chez la nounou ou même à jouer seul.
  • Recherche de réconfort : Il sollicite davantage les câlins, le portage ou la proximité physique.
  • Comportements régressifs : Retour à des habitudes plus « bébé » (succion du pouce, couches, besoin d’être bercé).
  • Troubles du sommeil : Difficultés à s’endormir, réveils nocturnes fréquents, refus de la sieste.

Points essentiels à ne pas négliger

1. Impact sur le sommeil et la vie familiale

La crise des 18-24 mois peut perturber durablement le sommeil de l’enfant, mais aussi celui des parents. La fatigue accumulée risque d’installer un cercle vicieux où anxiété et irritabilité s’alimentent mutuellement. Il est donc crucial de préserver, autant que possible, des temps de repos et de prendre soin de soi en tant que parent.

2. L’importance de la routine et des repères

Les routines quotidiennes (repas, sieste, coucher, rituels du soir) rassurent l’enfant et l’aident à anticiper les séparations. Maintenir ces repères, même en péhttps://monbebebienetre.com/wp-content/uploads/2024/06/woman-traveling-in-france-2023-11-27-05-16-47-utc_Easy-Resize.com_.jpgde de crise, favorise la sécurité affective et facilite le retour à un sommeil apaisé.

3. Communication et préparation

Prévenez votre enfant avant chaque séparation, expliquez-lui où vous allez et quand vous reviendrez. Utilisez des mots simples, mais aussi des supports visuels (images, minuteurs, livres sur la séparation) pour l’aider à se repérer dans le temps.

4. Soutien émotionnel et bienveillance

L’enfant a besoin d’être entendu dans ses peurs et ses émotions. Accueillez ses pleurs sans les minimiser, offrez-lui des câlins, rassurez-le sur votre amour et sur le fait que vous revenez toujours.

5. Favoriser l’autonomie en douceur

Encouragez votre enfant à jouer seul quelques minutes, à s’occuper avec un objet transitionnel (doudou, t-shirt imprégné de votre odeur), et valorisez chaque petit progrès vers l’autonomie.

Conseils pratiques pour traverser cette étape

  • Adoptez une attitude cohérente et rassurante : Les enfants ont besoin de savoir à quoi s’attendre. Soyez ferme sur les routines, mais flexible sur les besoins affectifs.
  • Évitez les adieux prolongés : Un au revoir bref, mais chaleureux, permet de limiter la détresse.
  • Respectez la sieste : Même si elle est plus courte ou difficile, elle reste essentielle pour l’équilibre de votre enfant.
  • Créez un environnement sécurisant : Que ce soit à la maison ou à la crèche, assurez-vous que l’enfant se sente entouré et en confiance.
  • Prenez soin de votre propre bien-être : N’hésitez pas à demander de l’aide ou à partager votre expérience avec d’autres parents ou des professionnels.

Points supplémentaires à considérer

  • L’influence des grands changements : Déménagement, arrivée d’un petit frère ou d’une petite sœur, entrée à la maternelle… Tous ces événements peuvent amplifier l’angoisse de séparation. Anticipez-les et accompagnez votre enfant avec encore plus de douceur.
  • Le rôle du langage : À cet âge, l’enfant commence à mieux comprendre et à exprimer ses émotions. Encouragez-le à mettre des mots sur ce qu’il ressent.
  • Quand consulter ? : Si l’angoisse de séparation devient très intense, dure plus de 6 semaines, ou s’accompagne de troubles sévères (repli sur soi, refus de s’alimenter, crises d’angoisse), il peut être utile de consulter un professionnel de la petite enfance.

La crise de l’angoisse de la séparation entre 18 et 24 mois est une étape normale, signe que votre enfant grandit et construit sa personnalité. Avec patience, bienveillance et des repères solides, il traversera cette péhttps://monbebebienetre.com/wp-content/uploads/2024/06/woman-traveling-in-france-2023-11-27-05-16-47-utc_Easy-Resize.com_.jpgde et gagnera en confiance. N’oubliez pas : chaque enfant avance à son rythme, et chaque parent mérite aussi d’être soutenu dans cette aventure !


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